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Santé respiratoire : comment concilier l’humain et le digital ? Avis d’experts.

Les outils numériques font partie de notre vie professionnelle et sociale, de notre bien-être et… de notre santé ! Ils réorganisent nos modes de communication, de fonctionnement, ainsi que la gestion des maladies chroniques.

L’association Santé respiratoire France prend ce virage numérique à cœur et s’interroge sur la manière de concilier l’humain et le digital dans le domaine de la santé, en particulier dans les soins aux personnes insuffisantes respiratoires chroniques. En amont des Rencontres 2022, qui se tiendront le 14 octobre dans l’enceinte du Palais du Luxembourg, siège du Sénat français à Paris, nous vous partageons le point de vue d’experts sur la e-santé.

« La téléconsultation a émergé, la télésurveillance des maladies au long cours – dont l’insuffisance respiratoire – se déploie progressivement. La santé digitale certes, mais centrée sur l’humain, est déjà une réalité et s’imagine encore. Il nous faut concevoir le digital comme un outil au service des personnes souffrant de maladies chroniques, des aidants et des professionnels de santé, afin de mieux « prendre en soins », de suivre au plus près chaque individu au quotidien, d’améliorer les parcours et l’accès à la santé de tous les citoyens. »

Dr Frédéric le Guillou, président de Santé respiratoire France

DANS CE DOSSIER :

🔸 « Le numérique, une chance pour améliorer la qualité et le parcours de soins, mais aussi pour redonner du sens au travail de soignant », par le Pr Corinne Isnard-Bagnis, néphrologue, professeur à la faculté de médecine Sorbonne Université (Paris) et praticien hospitalier à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière et à l’hôpital Tenon (Paris). LIRE

🔸 « Le numérique pour faciliter une médecine intégrative », par le Dr Alain Toledano, cancérologue, président de l’Institut Rafaël (Levallois-Perret, Hauts-de-Seine) et directeur de la chaire Santé Intégrative au Conservatoire National des Arts et Métiers (Cnam, Paris) plaide depuis longtemps pour une conception intégrative de la santé, au sein de laquelle le numérique est un outil qui se révèle indispensable. LIRE

🔸 « Le projet régional de santé Grand Est 2023-2028 fera la part belle au numérique », par le Dr Romain Hellmann, conseiller médical de la directrice générale de l’ARS Grand Est. LIRE

🔸 « Le numérique peut être un levier motivationnel », par Hugo Oillic, Directeur de l’impact, en charge de l’application WeWard. LIRE

🔸 « Pour lutter contre les déserts médicaux, la Meuse parie sur la télémédecine », par le Dr Jean-Claude Cornu, chef du service de pneumologie au Centre hospitaliser de Verdun Saint-Mihiel, coordonne une étude régionale e-Meuse Santé exploitant, la première expérimentation à grande échelle de télésurveillance de patients atteints d’apnées du sommeil ou de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). LIRE

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