Dites-nous Dany Piano, « si vous étiez… » ?

L’emphysème, la transplantation pulmonaire, et toujours le piano… « Portrait chinois »
« Je viens d’apprendre ma mise en invalidité ». Que vais-je faire de ma vie ?

Du jour au lendemain, vous n’êtes plus bon à rien : le mot « invalidité » est terrible.
« A l’annonce de mon diagnostic d’apnées du sommeil, ce que j’aurais aimé que l’on me dise… »

« Il s’agissait que je revive, et que cesse enfin ce calvaire, ce long tunnel de fatigue, de découragement qui a failli détruire ma vie sociale et professionnelle »
« Ne pas craindre la transplantation pulmonaire »

Entretien avec Serge, 61 ans, greffé des poumons en janvier 2022
« L’ergothérapie nous apprend à économiser nos ressources »

Brigitte, 56 ans, atteinte de BPCO stade 2-3 (sans oxygène) et d’emphysème sévère (Alpes-de-Haute-Provence).
« Il faut agir contre la pollution provoquée par l’enfumage des cultures lors des épisodes de gel »

« Ce qui se passe ici et dans d’autres régions de France est une réelle pollution atmosphérique et une intoxication de la population, estime-t-elle. »
[ Témoignage ] « Notre survie repose sur le comportement de tous »

Insuffisante respiratoire, je vis en « mode confiné » depuis le début de la pandémie.
« Par chance, être une femme n’a jamais été un obstacle dans ma vie professionnelle. En revanche, souffrir du handicap invisible que constitue la BPCO, oui. Et ce à de nombreuses reprises ! »

A l’occasion de la Journée internationale des femmes, Cécile se confie sur sa vie, sa maladie, son parcours professionnel et sa lutte contre le handicap invisible que constitue la maladie respiratoire.
[ Vidéo ] Vivre avec une fibrose pulmonaire idiopathique (FPI)
![[ Vidéo ] Vivre avec une fibrose pulmonaire idiopathique (FPI)](https://sante-respiratoire.com/wp-content/uploads/2021/12/temoignage-de-vincent-1-1024x574.jpg)
Le témoignage de Vincent souffrant de FPI (Fibrose Pulmonaire Idiopathique)
Covid long : « J’ai appris à gérer des problèmes de respiration dont je n’avais même pas conscience ! »

« Il faut vraiment les vivre pour prendre la mesure de ces symptômes. D’où l’incompréhension presque générale de l’entourage. »