Lorsque l’on parle de pollution environnementale, on pense tout d’abord à la pollution atmosphérique et aux particules fines, responsables d’une part importante des maladies respiratoires chroniques et des cancers du poumon. C’est oublier que la pollution intérieure – acariens, moisissures ou encore composés organiques volatils, notamment – peut être nocive pour la santé respiratoire.