Que l’on soit sportif ou randonneur, souffrant ou non de difficultés respiratoires, l’altitude n’a pas toujours l’effet bénéfique escompté. En effet, au-delà de 1 000 mètres, l’altitude oblige l’organisme à s’adapter afin de maintenir un état d’équilibre (homéostasie) face à ce qui représente, si ce n’est une agression, tout au moins un état de stress. Ce « dopage naturel » recherché par les sportifs peut parfois se révéler inconfortable voire délétère pour les personnes sensibles et/ou souffrant de maladies cardio-respiratoires.
Le point avec le Dr Magaly Guilmont, médecin de montagne exerçant en station de ski.